Qui est près de moi? En ce moment ceule le silence est prèsent.

Le cours de sport est une chose que je n’aime pas, mais vraiment pas du tout. Et pourtant, j’aime rester au calme, attendant le week end pour aller voir les cheveux et m’occuper d’eux. Je suis étrange car les filles ne m’aiment pas beaucoup, la plus part des filles de ma classe me cracheraient presque au visage quand elle croise mon regarde… me cela ne m’importe que trop peu. La solitude est une bonne chose et ceux qui ne parle pas son agréable. Ces cheveux sont beaux et pourtant certain on peur de moi, je ne peux m’empêcher que de venir les voir depuis que j’ai appris qu’ils étaient ici. Cela me plais, de rester seule avec eux pendant des heures, passent mon temps à les brosser. Quand je suis avec eux, je perds la notion du temps et c’est la lumière extérieure qui m’apprend que le soleil se couche déjà. Je me tourne regardant le ciel teinté d’orange alors que les cheveux mangent leur foin. Ce spectacle est beau, le silence est agréable et la lumière passant à travers les branches d’arbres, cela donnait l’impression que les feuilles prenaient feu alors que la lumière devenait de plus en plus faible. Un beau spectacle qui ne dur pas long temps.

Je me retourne vers cette jument blanche qui semblait farouche pendant le cours de sport, où elle fit tomber plusieurs personnes au sol. Mais maintenant elle semblait si calme, son poile si doux et sa robe blanche était parfaite. J’aurai tant aimé être comme elle, si calme en ce moment, mais mes pensées n’arrêtaient pas de tourner dans tous les sens. Je ne savais plus quoi faire.

Je pris doucement sa tête qu’elle pose sur mon épaule, je faire les yeux, sa peau tiède était agréable, je la serra doucement dans les bras, le calme. Le noir descendait doucement alors je vais allumer une lanterne pour pouvoir rester encore un moment près de cette belle jument.
Mais comment ne pas craindre ce qui règne dans cette académie la nuit. J’ignorais combien de temps j’allais rester ici, mais j’avais tout de même pris mon sabre anti-vampire au cas où. Et pourtant, j’aurai tant aimé le voir… Je ne pouvais plus penser à autre chose que de le voir, encore et encore. Pourtant, il était… Il était ce que je haïssais le plus. Un vampire. L’une des créatures qui ne font que faire souffrir les autres. Ils ne font que détruire ce que l’on tant à créer. Mais lui… Il semble si, différent des autres, de ceux que j’ai croisé… Comme lui.

Lui, cet étrange être qui ce retrouva sous la lame de mon sabre. Ses yeux rouges redevinrent bleu ciel et il me regarda, effrayé, pétrifier par la peur d’expier sous ma main. Il était resté au sol me regardant un long moment et quand il bondit sur moi, ce ne fut lui qui se prit mal lame alors qu’il me protégeait de ce fou qui avait réussi à se glisser dans mon dos sans que je ne le remarque. Il avait donné un coup direct sur ce monstre qui allait me tuer. Il avait plongé sans réfléchirai sur mon sabre qui le transperçait de par en par. Le sang au bout de ma lame coulait doucement et il me serrait dans ses bras avec un sourire.

-Tu n’as rien…. Je suis soulagé… J’ai eu si peur pour toi… Chrisa…

Ce vampire me connaissait… je le connaissais aussi, car pendant plusieurs mois nous étions devenu compétiteur, le but était de tuer le plus de level : E, et comme attendu, il gagna au la main. Mais le moment venu, je vis son nom sur la liste. Je ne pouvais rien faire d’autre. Il avait provoqué la mort d’une famille, de jeunes enfant massacré parce qu’il n’avait pas ceux tuer un vampire fou. Ce vampire qu’il n’avait pu tuer était son frère… Qui contrairement à lui, n’avait pas eu la chance de boire le sangde son maitre. Mais qui avait perdue la raison…

-Pourquoi…. Arnold… Pourquoi ? T’es tu jeter sur... Mon sabre ?

Il fut sans doute le seule en qui j’eu confiance pendant plusieurs mois, mais alors que je retirais rapidement mon sabre, une douleur me brula dans le cou, je le regardais horrifié… Il avait commis ce qu’il m’avait promis de ne jamais faire. Il venait de me mordre. Fermement, ne me lâchant pas, je me débâtais effrayé par ce qu’il faisait. Je pouvais entendre avec horreur mon sang couler dans sa bouche, l’entendre l’avaler goulument alors que doucement je perdais ma force. J’avais beau le frapper il était aussi inflexible qu’un mur. Et se fut un éco qui parvient à mes oriels, il me lâche avant de devenir fumer et cendre et de tomber au sol en disparaissant.

Aujourd’hui, je ne peux oublier cette sensation de brulure qui me fait encore mal au cou. Alors je garde en permanence mon sabre sur moi, toujours prête à me battre.

Mon regarde se porte sur mon sabre appuyer contre le mur à moins d’un mètre de moi. Il me suffisait de tendre le bras pour l’avoir en main. Je ne pouvais pas m’en séparer, la nuit je le gardais à coter de mon lit ou cas où….

Longue journée… Le soir était doucement venu et l’envie de dormir n’était que partie. Je me levais en ouvrant mes yeux rubis sur ce monde. J’avais faim, et une faim sans nom me serrait la gorge. Je tirais la couverture pour la jeter au pied de mon lit. J’avais beau vouloir être de bonne humeur, j’avais faim et je voulais du sang et vite !

J’attrapais l’une de mes robe courte devant et longue derrière, elle glissait sur ma peau allant s’arrêter sur ma poitrine, je fermais l’attache éclaire. Et sautais par la fenêtre de ma chambre. Du sang ! Du sang !! Je courais dans la rue, j’avais un appartement en pleine ville pour me séances photo. Mais surtout pour aller voir Akira régulièrement. Je m’étais prise d’une grande affection pour lui, peut-être même de l’amour qui sait. Mais je ne pensais pas à lui à ce moment. J’étais trop préoccupée par ma faim.
Mes pas résonnaient dans la rue, je n’avais même pas mis de chaussure, non il m’en fallait !!! Il me fallait du sang.

Je courais encore et encore avant de m’arrêter. Une odeur, je la connaissais, je le voulais ! Je la suivais et passais l’entrée de l’académie, courant encore je fonçais dans la forêt, là au loin devant moi, elle était plus forte, elle provenait de ce boxe.

Je courais entre les arbres, mon pas était silencieux amortit par l’herbe. Mon cœur battait plus vite que jamais, j’allais retrouver ces deux vieilles amies, ces jumelles : Arélia et Astrara, les deux filles sadiques qui meurtrissaient mieux que jamais leurs victimes. Je les aimais beaucoup, mais l’odeur semblait légèrement différante, plus sucrée et plus douce, il y avait quelque chose.

D'humain que je ne reconnaissais pas. Et une solitude, il n'y avait qu'une personne là bas, mais elles ne se séparaient pourtant jamais. Que cela pouvait-il donc bien signifier?

Je m'arrêtais devant l'écurie et regardais la lumière. Il y avait certes une fille qui leurs ressemblait beaucoup, mais elle avait les cheveux or et une peau bien vivante. Je restais un moment avant qu'elle ne sappercvait que j'étais là. Elle attrapait un sabre à coté d'elle, une arme que je n'avais pas vue et que même au par avant elle ne me disait rien.

Je m’endormais doucement, le ciel était plonger dans le noir et je n’avais pas envie de retourner dans le dortoir. Pourtant il le fallait.

Alors que j’allais me décider enfin à bouger, je me rendais compte de la présence d’un vampire, prise de peur j’attrapais mon sabre et le tendais froidement vers la nouvelle venue. Elle semblait perplexe et me regardait comme ci je la connaissais. Mais qui était donc cette vampire ?

Je me relevais plus méfiante que jamais, elle n’était pas un level E, sinon elle m’aurait déjà sauté dessus, non elle devait soit me dire quelque chose, soit vouloir mon sang. Mais dans les deux cas je refusais de baisser ma garde. Je connaissais que trop bien les vampires… le seul au résonnement qui m’échappait était ce fameux Ichijo, je ne comprenais pas pourquoi lui il semblait si différent des autres.

Je fronçais les sourcils alors qu’elle venait de faire un pas vers moi, je regardais ses pieds qui étaient si silencieux pour cause elle ne portait pas de chaussures. Je revenais sur ses yeux qui était brun orangé, une belle couleur il fallait l’avouer.

-Que me veux-tu ?!

Elle n’était pas de cette académie, cela était sur, car même moi je portais l’uniforme noir des days class, certes je ne l’aimais pas beaucoup mais je n’avais pas trop le chois.